Un projet, plusieurs étapes… souvent simultanées

Créer son cabinet est une aventure passionnante, mais aussi complexe. Si l’on imagine souvent un parcours linéaire, fait d’étapes successives bien ordonnées, la réalité est tout autre : la plupart des démarches s’entremêlent et doivent être menées en parallèle.

Dès les premiers jours, vous serez confronté(e) à une multitude de décisions : choisir un local, définir votre statut juridique, ouvrir vos comptes, signer des contrats, acheter du matériel, travailler votre image, anticiper vos charges… Et tout cela, souvent dans un laps de temps très court.

Cette simultanéité peut générer une forte charge mentale, surtout lorsque l’on débute ou que l’on souhaite tout gérer soi-même. C’est pourquoi il est essentiel de structurer votre projet, prioriser les actions et vous entourer des bons partenaires.

René Concept & Innovation : votre partenaire de confiance

Notre mission est simple : vous guider, vous conseiller et vous soulager dans toutes les étapes de votre installation.
Que vous soyez en phase de réflexion ou déjà engagé(e) dans les démarches, nous vous proposons un accompagnement personnalisé, adapté à votre rythme et à vos besoins.

Ce que vous trouverez dans cette F.A.Q

Dans cette rubrique, nous vous présentons les 4 grandes étapes de la création ou de la reprise d’un cabinet, chacune détaillée avec :

  • Les enjeux clés,
  • Les questions essentielles à se poser,
  • Des solutions concrètes pour réussir votre projet,
    le tout construit à partir d’une expérience de terrain réelle, pour vous offrir des conseils pratiques et applicables.

Étape 1 : Choisir votre futur lieu d’exercice

Comment bien démarrer votre projet de création ou de reprise de cabinet dentaire ?

Si vous partez de zéro, il est souvent plus simple et stratégique de rechercher un cabinet déjà existant. Cela permet de bénéficier :

  • D’une structure opérationnelle (locaux, matériel, personnel),
  • D’une patientèle existante,
  • D’un emplacement déjà connu et souvent bien situé,
  • D’une visibilité bancaire accrue pour obtenir un financement.

Où trouver des opportunités de cabinets à reprendre ?

Le site www.abcdent.pro est le 1er portail d’annonces dentaires en France, avec plus de 2 000 annonces actives et 130 000 utilisateurs. Vous y trouverez :

  • Des cabinets à vendre ou à louer,
  • Du matériel dentaire d’occasion,
  • Des offres d’emploi et de collaboration.

C’est une plateforme fiable, utilisée par les professionnels du secteur depuis plus de 10 ans.

Est-il préférable d’acheter les murs du cabinet ou de rester locataire ?

Si vous achetez un cabinet complet, la question des murs est cruciale. En effet :

  • Les murs ne sont pas fiscalement déductibles dans le cadre de votre activité libérale.
  • Pour optimiser la fiscalité, il est recommandé de les acheter via une SCI (Société Civile Immobilière) ou une SCM (Société Civile de Moyens), puis de vous louer les locaux à vous-même.

Ce montage permet :

  • De séparer le patrimoine immobilier de l’activité professionnelle,
  • De faciliter la transmission patrimoniale,
  • D’optimiser la fiscalité selon le régime choisi (IR ou IS).

Quels sont les avantages de la reprise par rapport à la création d’un cabinet ?

Avantages de la reprise :

  • Démarrage immédiat avec une activité existante,
  • Patientèle déjà constituée,
  • Moins de démarches administratives,
  • Financement plus facile grâce aux bilans existants.

Inconvénients :

  • Le cabinet peut nécessiter des travaux ou une rénovation,
  • Le style ou l’agencement peut ne pas correspondre à vos goûts,
  • Risque de perte partielle de patientèle lors de la transition.

Mais dans l’ensemble, la reprise est souvent plus sécurisante, surtout pour une première installation.

Pourquoi le rachat de la patientèle est-il souvent recommandé ?

Le rachat de patientèle dans un cabinet dentaire permet d’acquérir des éléments immatériels essentiels : une base de patients fidèles, une réputation locale, un flux de rendez-vous régulier et une organisation déjà en place. Cela facilite un démarrage rapide et sécurisé de l’activité libérale.

Ce rachat est juridiquement fondé sur le droit de présentation : le cédant s’engage à présenter le successeur à sa patientèle, sans garantie de transfert (les patients restent libres de leur choix).

Fiscalité : Le rachat de patientèle est temporairement amortissable (jusqu’en 2025) pour les professionnels en BNC, ce qui permet une déduction progressive sur 10 ans.

Pourquoi la possibilité d’amortir la patientèle est-elle limitée à 2025 ?

  • Cette mesure a été mise en place pour soutenir la reprise économique post-Covid, en facilitant la transmission des cabinets et l’installation des jeunes professionnels libéraux.
  • Elle concerne les éléments incorporels comme la patientèle, qui sont normalement non amortissables car considérés comme ayant une durée d’utilisation illimitée.
  • Pour simplifier, la loi a autorisé les petites entreprises (CA < 12 M€, < 50 salariés) à amortir ces éléments sur une durée forfaitaire de 10 ans, sans avoir à prouver une durée d’utilisation limitée.
  • Cette dérogation est valable uniquement pour les acquisitions réalisées entre le 1er janvier 2022 et le 31 décembre 2025. Après cette date, sauf prolongation législative, le régime fiscal classique s’appliquera à nouveau, et la patientèle redeviendra non amortissable.

Faut-il réaliser un inventaire complet du matériel lors du rachat d’un cabinet ?

Oui, il est indispensable de faire un inventaire détaillé du matériel lors du rachat d’un cabinet. Cela permet :

  • De valoriser correctement les éléments corporels (fauteuils, radiologie, informatique, etc.),
  • De négocier le prix de cession en connaissance de cause,
  • De prévoir l’amortissement fiscal du matériel, qui est déductible sur plusieurs années.

Même si le matériel est ancien ou dévalué, il doit être listé précisément pour éviter tout litige ultérieur.

Quelle est la durée légale d’un bail professionnel pour un cabinet dentaire ?

La durée minimale légale d’un bail professionnel est de 6 ans, avec reconduction tacite pour la même durée. Il peut aussi être conclu pour 8 ou 12 ans, mais au-delà de 12 ans, il doit être rédigé par acte notarié et publié au service de publicité foncière.

  • Le locataire peut résilier à tout moment avec un préavis de 6 mois.
  • Le propriétaire ne peut résilier qu’à l’échéance du bail, également avec un préavis de 6 mois.
  • Il est possible d’opter pour un bail commercial (durée minimale de 9 ans), qui offre un droit au renouvellement mais moins de flexibilité.

Disposez-vous des prévisionnels du cédant et sont-ils alignés avec vos objectifs ?

Lors du rachat d’un cabinet dentaire, il est essentiel de demander les prévisionnels ou les bilans d’activité du praticien précédent. Ces documents permettent de :

  • Évaluer la rentabilité réelle du cabinet,
  • Comprendre la saisonnalité de l’activité (périodes creuses ou fortes),
  • Vérifier la cohérence entre les objectifs du cédant et les vôtres (volume de patients, types de soins, horaires, etc.),
  • Anticiper les besoins en trésorerie et en investissements.

Si les prévisionnels ne correspondent pas à votre projet (par exemple, si vous souhaitez développer l’implantologie ou réduire les horaires), il faudra adapter votre propre business plan en conséquence.

Avez-vous défini une stratégie de financement claire et réaliste ?

Avant de vous lancer dans la reprise ou la création d’un cabinet dentaire, il est essentiel de définir une stratégie de financement adaptée à votre projet. Cela implique :

  • L’évaluation du coût total du projet : rachat de patientèle, matériel, travaux, droit au bail, éventuels frais de notaire ou d’agence.
  • La recherche de solutions de financement : prêt professionnel, crédit-bail, apport personnel, aides régionales ou sectorielles.
  • La simulation de votre capacité d’endettement et de remboursement.
  • La prise en compte des charges fiscales et sociales liées à votre statut (BNC, SELARL, etc.).

Une stratégie bien construite vous permettra de convaincre les banques, de sécuriser votre trésorerie et de éviter les imprévus financiers.

Êtes-vous accompagné(e) par un avocat ou un conseiller juridique pour sécuriser votre projet ?

La reprise ou la création d’un cabinet dentaire implique des engagements juridiques importants : contrat de cession, bail professionnel, statuts de société, clauses de non-concurrence, etc. Être accompagné(e) par un avocat spécialisé ou un conseiller juridique permet :

  • De sécuriser les démarches,
  • D’éviter les pièges contractuels,
  • De défendre vos intérêts lors des négociations.

Un accompagnement juridique est fortement recommandé, notamment pour les montages en SCI, SELARL ou SCM.

Souhaitez-vous exercer seul(e) ou en collaboration avec d’autres praticiens ?

Ce choix impacte directement :

  • Votre organisation quotidienne,
  • Vos charges (mutualisation ou non),
  • Votre mode de fonctionnement (indépendance ou travail en équipe).

Exercer en collaboration (SCM, SELARL, cabinet de groupe) permet souvent de partager les coûts, de bénéficier d’une dynamique collective, et d’offrir une palette de soins plus large. Exercer seul(e) offre plus de liberté, mais demande une gestion complète et autonome.

Votre business plan est-il finalisé et votre financement validé ?

Un business plan solide est indispensable pour :

  • Structurer votre projet,
  • Convaincre les banques ou investisseurs,
  • Anticiper les besoins en trésorerie,
  • Définir vos objectifs de croissance.

Il doit inclure :

  • Une étude de marché,
  • Un prévisionnel financier sur 3 à 5 ans,
  • Une stratégie de développement.

Une fois le business plan établi, il est essentiel de valider votre financement auprès d’un établissement bancaire ou d’un organisme spécialisé.

Ce que René Concept & Innovation peut faire pour vous :

  • Clarifier vos critères de choix.
  • Analyser les opportunités de reprise ou de location.
  • Évaluer les risques et les avantages de chaque option.
  • Préparer les documents nécessaires pour vous positionner rapidement et efficacement.

Étape 2 : Gérer les démarches administratives

Quel statut juridique est le plus adapté à votre projet ?

Le choix du statut juridique dépend de votre mode d’exercice, de votre stratégie patrimoniale et fiscale :

  • Entreprise individuelle (EI) : simple à mettre en place, mais responsabilité illimitée.
  • SELARL / SELAS : sociétés d’exercice libéral, adaptées à une activité structurée, avec une fiscalité optimisée.
  • SASU / EURL : formes unipersonnelles si vous exercez seul(e), offrant souplesse et protection.
  • SCM (Société Civile de Moyens) : permet de mutualiser les moyens (locaux, matériel, personnel) sans partager les revenus.
  • SCI (Société Civile Immobilière) : utile pour acquérir les murs du cabinet et les louer à votre propre activité.

Quel régime fiscal et social devez-vous choisir pour votre activité ?

  • Régime BNC (Bénéfices Non Commerciaux) : adapté aux professions libérales, avec déclaration 2035.
  • Micro-BNC : régime simplifié, limité à un chiffre d’affaires annuel de 77 700 €.
  • Impôt sur les sociétés (IS) : accessible via une SELARL ou SASU, avec plus de souplesse pour la rémunération.
  • TVA : les actes médicaux sont exonérés, sauf exceptions (actes esthétiques, ventes de produits non liés aux soins).

Quelles sont les démarches pour créer votre entreprise ?

Les étapes clés :

  1. Réaliser une étude de marché.
  2. Élaborer un business plan solide.
  3. Choisir votre statut juridique.
  4. Rédiger les statuts (si société).
  5. Immatriculer votre entreprise via le guichet unique (INPI).
  6. Publier une annonce légale.
  7. Ouvrir un compte bancaire professionnel.
  8. Souscrire aux assurances obligatoires (RCP, locaux, etc.).

Quels sont les délais et les coûts liés à la création d’un cabinet ?

  • Immatriculation : entre 35 € et 65 €.
  • Publication légale : entre 100 € et 200 €.
  • Honoraires professionnels : avocat, expert-comptable, prévoir entre 500 € et 2 000 €.
  • Extrait Kbis : délivré sous quelques jours après immatriculation.

Pourquoi la publication légale est-elle obligatoire ?

Elle permet d’informer les tiers, de rendre votre entreprise juridiquement opposable, et d’obtenir l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés (RCS).

Que faut-il prévoir si vous vous associez avec d’autres praticiens ?

  • Statuts : obligatoires pour définir les règles de fonctionnement.
  • Pacte d’associés : fortement recommandé pour anticiper les conflits, les départs ou les cessions de parts.
  • Règlement intérieur : utile pour organiser la vie du cabinet au quotidien.

Qui doit prendre en charge les démarches administratives et juridiques ?

  • Avocat : pour les statuts, pactes, baux, cessions.
  • Expert-comptable : pour le business plan, la fiscalité, les déclarations.
  • Vous-même : possible via des plateformes comme Legalstart, Captain Contrat ou le guichet unique de l’INPI.

Faut-il créer une SCI ou une SCM pour gérer les locaux ou les moyens ?

Ces structures permettent de séparer le patrimoine immobilier de l’activité professionnelle et d’optimiser la fiscalité.

  • SCI : pour acheter les murs et les louer à votre propre activité.
  • SCM : pour partager les frais entre praticiens tout en conservant votre indépendance.

Comment ouvrir un compte bancaire professionnel et quelle banque choisir ?

Vous pouvez ouvrir un compte professionnel :

  • En ligne : Shine, Propulse, Qonto.
  • En agence : LCL, Crédit Agricole, Banque Postale, Caisse d’Épargne...

Documents requis : pièce d’identité, justificatif de domicile, statuts ou Kbis, numéro SIRET.

Attention aux commissions sur les paiements par carte bancaire

Lors de l’encaissement des paiements par carte (CB) de votre patientèle, les commissions bancaires peuvent varier fortement selon le type de banque :

  • Banques en ligne : souvent des commissions au pourcentage, parfois moins avantageuses pour un volume élevé de transactions.
  • Banques traditionnelles : proposent généralement des contrats monétiques avec des forfaits ou des taux négociés, souvent plus compétitifs pour les cabinets avec un flux important de paiements par carte.

Conseil : comparez les offres avant de choisir votre banque. Prenez en compte :

  • Le taux de commission par transaction,
  • Les frais fixes mensuels,
  • Les options de terminaux de paiement (achat ou location).

Votre projet prévoit-il du personnel ? Quand et comment recruter ?

Assistant(e) dentaire : indispensable pour le travail à quatre mains.

  • Secrétaire médical(e) : pour la gestion administrative.
  • Recrutement : via Dentalemploi, Jober Group, France Travail, LinkedIn, Dentalgency...

Pensez à anticiper les charges sociales, les contrats de travail et les obligations légales (formation, sécurité, etc.).

Ce que René Concept & Innovation peut faire pour vous :

  • Choisir la structure juridique la plus adaptée à votre projet.
  • Comprendre les implications fiscales et sociales.
  • Réaliser ou superviser les démarches de création.
  • Vous mettre en relation avec des partenaires fiables (experts-comptables, juristes, banques).
  • Anticiper les besoins RH et les obligations légales.

 

Étape 3 : Ouverture des comptes et contrats essentiels

Quels comptes et contrats ouvrir lors de la reprise ou la création d’un cabinet dentaire ?

Lors de la mise en place de votre activité, plusieurs démarches administratives et contractuelles sont indispensables. Elles se répartissent en deux catégories :

Comptes administratifs à ouvrir :

  • URSSAF : pour le paiement des cotisations sociales.
  • CARCDSF (Caisse Autonome de Retraite des Chirurgiens-Dentistes et des Sages-Femmes) ou autres caisses selon votre profession : pour la retraite et la prévoyance.
  • Impôts : inscription au régime fiscal choisi (BNC, SELARL, etc.).

Comptes et contrats pour le cabinet :

  • Énergie : électricité, gaz.
  • Internet et téléphonie : indispensable pour la gestion des rendez-vous et la communication.
  • Assurances professionnelles :
    • Responsabilité Civile Professionnelle (RCP),
    • Multirisque pour les locaux,
    • Protection juridique.
  • Services :
    • Ménage et entretien,
    • Maintenance des équipements,
    • Sécurité (alarme, vidéosurveillance),
    • Logiciels métiers (Doctolib, logiciel de gestion, lecteur CPS, etc.).

Astuce : regroupez vos contrats pour simplifier la gestion et négociez les tarifs auprès des fournisseurs.

Attention : « Ce sont des charges déductibles »… mais pas toutes utiles !

Il est fréquent de signer rapidement des contrats ou de souscrire à des services en pensant :
« Ce sont des charges déductibles, donc ce n’est pas grave ».
Mais cette logique peut être trompeuse.

Pourquoi être vigilant ?

  • Une charge déductible reste une dépense réelle qui impacte votre trésorerie.
  • Certaines dépenses peuvent être optimisées ou négociées avant signature.
  • Il est préférable d’investir dans des éléments qui apportent de la valeur à votre activité.

Exemples d’investissements plus utiles :

  • Décoration et aménagement : pour améliorer l’accueil et le confort des patients.
  • Travaux de rénovation : pour moderniser le cabinet et optimiser l’espace.
  • Confort patient : fauteuils ergonomiques, salle d’attente agréable, équipements modernes.

Avant de signer un contrat (maintenance, ménage, logiciels, etc.), comparez les offres, évaluez leur utilité et leur impact sur votre activité.

Ce que René Concept & Innovation peut faire pour vous :

  • Identifier les contrats indispensables et comparer les offres.
  • Prioriser les dépenses utiles et différencier les charges stratégiques.
  • Éviter les pièges des contrats trop engageants.
  • Optimiser vos charges dès le départ pour un meilleur retour sur investissement.

Étape 4 : Achat de matériel et stratégie d’investissement

Quelle est ma trésorerie disponible ?

Avant tout achat, évaluez votre solde bancaire, vos charges fixes et vos provisions pour imprévus. Un achat trop ambitieux peut compromettre votre capacité à payer vos cotisations, salaires ou loyers.

Cet achat est-il indispensable ou peut-il attendre ?

Classez vos besoins en prioritaires (fauteuil, stérilisation, radiologie) et secondaires (équipements de confort, options high-tech). Si le matériel actuel est fonctionnel, reportez l’investissement.

Achat comptant, LOA ou LDD ?

  • Achat comptant : pas d’intérêts, mais impact direct sur la trésorerie.
  • LOA (Location avec Option d’Achat) : mensualités fixes, option d’achat en fin de contrat.
  • LDD (Location Longue Durée) : renouvellement régulier, mais vous ne devenez jamais propriétaire.

Comparez le coût total (intérêts, frais, valeur résiduelle) avant de choisir.

Puis-je fractionner le paiement ?

Certains fournisseurs proposent des paiements échelonnés sans frais ou avec frais réduits. Cela peut soulager votre trésorerie.

Faut-il assurer ce matériel ?

Oui, pour couvrir :

  • Vol ou sinistre,
  • Panne (contrat de maintenance),
  • Responsabilité civile en cas de dommage lié au matériel.

Les frais de dossier, commissions, intérêts sont-ils déductibles ?

Oui, ces frais financiers sont déductibles fiscalement en BNC ou IS. Ils doivent être comptabilisés correctement.

Sur combien d’années puis-je amortir cet investissement ?

  • Informatique : 3 ans
  • Fauteuils et équipements lourds : 7 à 10 ans
  • Radiologie : 5 à 7 ans
    L’amortissement linéaire est le plus courant.

Mon cabinet comptable me conseille-t-il réellement ?

Un bon expert-comptable doit :

  • Vérifier la cohérence avec votre trésorerie,
  • Optimiser la fiscalité (amortissements, déductions),
  • Vous alerter sur les risques financiers.

Si vous avez un doute, demandez un prévisionnel détaillé avant de signer.

L’équipement du cabinet est un investissement majeur. Il doit être réfléchi pour ne pas déséquilibrer votre trésorerie.

Ce que René Concept & Innovation peut faire pour vous :

  • Évaluer la pertinence de chaque achat selon vos objectifs et votre trésorerie.
  • Comparer les options de financement et leurs impacts fiscaux.
  • Comprendre les mécanismes d’amortissement et de déduction.
  • Identifier les leviers pour optimiser vos investissements.
  • Vous orienter vers des fournisseurs et partenaires fiables.